• BALLADE dans Belem (attention BELEM au Brésil)

    BELEM est la porte d’entrée de l’AMAZONE. Nous retrouvons le bateau qui va nous accompagner pendant la « transamazonienne » avec les autres bateaux. Nous retrouvons les pompiers et les gardes de la police militaires qui dissuadent.

    BELEM

    Les quelques jours ou nous sommes dans la vile seront consacrés aux petites réparations de ATANUA. Karine et Barbara vont nous quitter à cette étape pour retourner dans la froidure française après avoir profité du soleil et de la fête au Brésil. La tête plein de souvenirs et prêtes pour le labeur qui les attend au retour. Avec Annie elles consacreront leur temps à la visite de cette ville un peu mythique.BELEM

    UN PEU DE CULTURE

    Belém est le point de départ de découvertes fabuleuses et de richesses insoupçonnées ,espoirs d’EL DORADO ; Belém un nom de femme qu’ a retenu le portugais CALDEIRA le fondateur de la ville. Comme pour signifier le mystère et l’attraction des hommes pour ce territoire hors du commun. Belém comme une histoire d’amour où une passion peut jouer des tours. C’est un joyau de l’architecture coloniale.qui doit son expansion au commence du latex. Puis s’abandonner dans sa chute aux trafiquants de bois, d’or ou du soja. A la fois douce et salée comme les eaux du  fleuve qui se mélangent à l’océan distant de 130 km et qui agite le va et vient des marées ; elle est la capitale de l’état du PARA. (PA RA veut dire océan en langue indienne TUPI

    BELEMBELEMBELEM

    Nous passerons du temps en excursion avec des bateaux locaux pour rendre une visite :

    - à l’ile aux perroquets (a l’aube de milliers de perroquets s’envolent de cette ile en quête de leur pitance- ils vivent en couple et se retrouvent le soir sur cette ile)

     

    BELEM

    BELEM

      

     

     

     

     

      

     

      

    - mais aussi la mangrove et de petites communautés qui vivent de commerce


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    Nous partons le jeudi 23 février pour deux jours dans la FAZENDA DO CARMO. Une vieille et authentique « fazenda » plus de 6000ha sur l’ile de MARAJO datant du siècle précédent ; Ici pas d’eau courante et pas d’électricité (sauf le soir avec un groupe électrogène). La maison date des années 1900 construite en bois par de riches pionniers.

    FAZENDA DO CARMO

      

    Ambiance, nous logeons chez les propriétaires dans les chambres simples et familiales sans climatisation ; les repas se prennent autour de la grande table en famille.

    Pour y accéder nous partons de notre mouillage de SOURE pour prendre le bac, puis 1h30 de mini bus pour atteindre un bras du fleuve. Le propriétaire nous attend avec une pirogue pour 40 mn de navigation sur la rivière.

    L’accueil est chaleureux et les paysages superbes. La maison est au bord du fleuve avec un appontement d’accès.

    Nous prenons connaissance du programme qui nous attend :

    - ballade en pirogue dans les canaux

    - une promenade à dos de buffle dans la plaine marécageuse

    - une promenade à cheval avec les « fazendeiros »

    - puis le soir une recherche de la faune et des caïmans

     Le lendemain matin

    -          Traite des bufflonnes au lever du soleilFAZENDA DO CARMO

    FAZENDA DO CARMO 

    -          Ballade pour débusquer des tamanoirs

    -          Sans oublier les bains et le repos dans le hamac

    FAZENDA DO CARMO

    Retour en début d’après midi en pirogue vers le monde civilisé !!! Après un plongeon dans un décor de film pour de vrai.

    L’ile de MARAJO

    C’est la plus grande ile Fulvio maritime de la planète. Un territoire plus grand que la Suisse avec seulement 90 Km de route. MARAJO « la Barriere de la mer en langue indienne subit le flux et le reflux du fleuve d’un coté et de l’océan de l’autre. La rencontre des eaux forme des vagues que traquent les surfeurs .ces rouleaux qui éclatent sur les plages de sable fin sont d’eau douce !!

    Ici existe un écosystème unique au monde entre jungle profonde et grandes plaines recouvertes d’eau lors de la saison des pluies et subissant l’influence des marées. Ce territoire peuplé de 600000 buffles (soit trois fois plus que d’humains), fut le berceau d’une des civilisations les plus avancées du bassin amazonien, avant l’arrivée des colons 

     FAZENDA DO CARMO


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  • SOURE

    Nous sommes à SOURE le 17 février et nous nous installons au mouillage pour 8 jours. Le carnaval débute le 18 pour 5 jours de « fiesta ».

    SOURE est la capitale de l’ile de MARAJO qui sépare le delta de l’Amazone à l’embouchure dans l’océan. Cette partie du fleuve se nomme le PARCAURI. Nous sommes dans l’état du PARA.

    C’est une ville dont le plan est typiquement colonial avec un tracé de rues rectilignes, perpendiculaires et parallèles. Cela forme des blocs de maisons sur des carrés que l’on repère par des chiffres, par exemple angle de la rue 1 et de la traverse 14.

    Il n’y a que des petites maisons d’un habitat individuel de construction typique en zone équatoriale.

    Nous consacrons notre matinée à la recherche d’une bâche, d’une bonde et de tuyau pour installer un système de récolte de l’eau de pluie nous permettant d’avoir de l’eau douce. Il pleut dru dans ce coin et l’eau de l’Amazone boueuse ; impossible de faire fonctionner le « DESSAL ».

    Nous préparons aussi notre expédition pour retrouver Karine qui nous rejoint ici par un vol sur BELEM et doit ensuite prendre le bac. Ce que nous pensions simple et en fait compliqué ! De SOURE il faut prendre le bac pour traverser le bras du fleuve, puis prendre le bus vers CAMARA où arrive le ferry venant de BELEM. Après ¾ d’heure de voyage en taxi  car pas de bus nous sommes au port de CAMARA en attente du ferry de notre nouvelle équipière.

    Les indications sont claires il y a un ferry par jour, donc par d’erreur possible. Voici le bateau de Karine qui apparait et accoste à l’heure dite et déverse sa foule qui se précipite vers les bus. Nous restons calmes et attendons avec sagesse. Horreur !! Pas de Karine dans le ferry !panique ! Où

     est elle ? les questions et film agitent nos esprits. Après pas mal de questions et interrogations, on nous explique que : compte tenu du carnaval de SOURE un deuxième ferry a été affrété. Ouf ! Encore une ½ heure d’attente pour retrouver Karine.

    En route pour le carnaval. Difficile de décrire l’ambiance dans la ville. Ca crie, chante, boit (beaucoup) et joue de la musique dans un joyeux « bordel ». Karine est tout de suite dans cette ambiance étourdissante.

    Le principe du carnaval consiste en une compétition entre les différents « BLOCO » (club ou équipe de quartier). Chaque supporter se doit d’acheter un tee-shirt au couleur de son « BLOCO » favori.

    Chaque soir quatre « BLOCO » (cela peut être plus en fonction du nombre d’équipes) défilent et reçoivent une note d’un jury. En trois soirées (nuits) toutes les équipes ont donc défilé et sont classées. Le quatrième jour  les trois « BLOCO » classes en tète redéfirent. Le cinquième jour on se repose et tente d’évacuer l’alcool et les décibels absorbés en ces quatre jours.

    Nous serons sages et consacrerons les jours en ballade et repos sur les plages magnifiques situées autour de la ville ;

    De SOURE nous projetons de faire dune ballade dans une « FAZENDA » (ferme) situé à deux heures de notre mouillage dont une quarantaine de minute de pirogue. Au programme ballade, à cheval et à dos de buffle, exploration des canaux et de la faune, ballade à pieds et piscine.

    Voir l’article sur la FAZENDA DO CARMO pour rêver un peu

     


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  • C’est la ville capitale du CEARA, état de la région du NORDESTE du Brésil.

    Le principal attrait de la région de FORTALEZA sont les plages et stations balnéaires situées  le long des cotes. Des plages grandioses au sable blanc.

    Notre escale de quelques jours coupe la remontée vers le nord-est et l’embouchure de l’amazone.

    Nous restons que six jours, pour une petite visite et refaire provision de frais pour continuer notre route

    FORTALEZA

    Le lundi de notre arrivée nous nous laissons entrainer vers un lieu mythique à FORTALEZA, qui se nomme le PIRATA, un lieu ou les brésilien font la fête. Une fois par semaine (exclusivement le lundi)la bonne société chante et danse sans retenue dans ce lieu sécurisé. Etonnant ! En plus l’on y dine très bien malgré le monde et l’ambiance.

    Nous consacrerons deux jours pour jouer les vacanciers à la plage en prenant un car pour la petite ville de JERICOARA, réputée comme un coin de paradis, qui se situe à 300 km de FORTALEZA (c’est peu à l’échelle du Brésil).

    FORTALEZAFORTALEZA

    Nous ne seront pas déçus. Des plages comme rêvé dans les livres, des lagunes avec des plages immenses et des « bains de mer » d’eau douce, avec une température de piscine. Un rêve éveillé pour des bretons qui se souviennent de la température de l’eau sur les plages Morbihannaises.

    FORTALEZAFORTALEZA

    Une petite traversée en bateau traditionnel pour accéder à un coin féerique, malheureusement encombré des quelques touristes.

    FORTALEZA

    Une nuit dans une « POUSADA » (petit hôtel) nous donnera une impression de la vie entrevue dans les magazines « PEOPLE ». Pour vous donner une idée : c’est comme Val d’Isère, avec boutiques et des restaurants pour toutes les bourses, il suffit de remplacer la neige par du sable blanc dans les rues.

    FORTALEZAFORTALEZA

    Nous exagérons un peu en forçant le trait, c’est «plus bon enfant » et les gens adorables, mais cela ressemble vraiment.

    Nous dinerons dans un restaurant réputé «  le TAMARINERO  (le tamarin) » dans un cadre magnifique et une carte somptueuse et délicieuse. Une excellente table pour 42 reis soit environ 20 euros (là on quitte notre comparaison)

    FORTALEZA

    De retour vers la marina jeudi en fin de soirée avec de vraies images comme dans les livres.

    Vendredi nous préparons notre départ pour SOURE en faisant l’avitaillement d’ATANUA,

    Départ prévu pour dimanche 12 février. Vivre le carnaval à partir du 18 février.

    Bref encore trois mois de galère au soleil, à faire la fête, ou se reposer sur la plage dans le sable fin.

    FORTALEZA

    Nous vous tenons bien sur informés pour vous rassurer. Mais pas d’inquiétude, on gère.

     


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  • Voila une ile perdue au large du BRESIL au milieu de nulle part dans l’atlantique.

    Le Brésil en a fait une réserve naturelle en protégeant son environnement.

    Lorsque nous sommes arrivés à notre mouillage dans une anse un peu abritée, plusieurs centaines de dauphins nous ont offert une extraordinaire parade. Les sauts et pirouettes se sont succédés pendant que nous jetions l’ancre.

    FERNANDO de NORONHA

    Parade des dauphins

    Nous leur avons demandé un peu de temps pour les photos, mais le temps de préparer l’annexe ils étaient plus calmes. Ils nous ont accompagnés le long de notre annexe. Dommage de n’avoir pas eu la possibilité de faire des photos, pris que nous étions par notre arrivée ;

    FERNANDO de NORONHA

    Repas de fête pour notre arrivée

    Cette ile est vraiment un paradis pour la plongée sous marine. Nous n’en profiterons pas, mais de longues baignades en palme et tuba ont satisfait nos yeux. Pouvoir nager auprès de tortues dans leur environnement est aussi un moment rare. Nous n’avons pas réussi à faire des photos à cause de petits problèmes techniques, dommage.

    FERNANDO de NORONHA

    VUE DE LA PLAGE AUX TORTUES - baignade autorisée avec elles

    Nous avons loué un buggy (c’est le moyen de locomotion de tous sur l’ile) pour une journée, ce qui nous a permis de faire le tour de l’ile. Seulement une partie car une large part situé au nord est parc national et n’est pas accessible au tourisme sauf exception et demande spéciale d’accompagnement d’un garde.

    FERNANDO de NORONHAFERNANDO de NORONHAFERNANDO de NORONHAFERNANDO de NORONHA

    Paysages de l'ile de FERNANDO

    Mais les plages encore sauvages, avec personne, sont magnifiques, et elles valent le détour.

    Le reste de notre temps sera consacré aux promenades et visites du musée des requins ou de celui des tortues.

    FERNANDO de NORONHA

    Au bonheur des naturalistes

    Tous les matins, vers 6 heures locale, nous aurons droit à la parade des dauphins. Ils nagent loin du bateau, qui au mouillage est immobile, ce qui les amuse moins pour la nage dans la vague de notre étrave. Ce sont malgré tout des moments magiques à chaque fois.

    Pour ceux qui font de la plongée, c’est vraiment une mine pour les yeux entre requins, tortues et mérous.

    De belles images suivent pour vous donner envie.

    Départ prochain pour FORTALEZA et ses plages de carte postale


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