• DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

      

    Nous arrivons à DJIFER aux dernières heures du jour après 12heures de navigation.

    DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

    Le temps d’assurer le mouillage et de faire un peu de rangement sur ATANUA, nous nous préparons pour aller à terre pour participer à une fête organisée par les parents de Paola pour son anniversaire.

    Oh rage !oh désespoir ! Notre moteur d’annexe ne démarre pas.

    Nous participerons malgré tout à la fête. Cela nous prend un peu la tète, mais comme dirait un ami « nous ne sommes payés pour avoir raison » et « on ne refait pas l’histoire ».

    DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

    Le boulanger de DJIFER au fournil

    Ne pouvant débarquer avec notre  annexe nous nous organisons donc en conséquence pour effectuer un peu de tourisme en pirogue. Nous louons donc les services d’un piroguier pour une petite ballade dans les BOLONGS.

    Nous programmons une promenade qui d’abord nous emmène dans les méandres à la découverte  de la faune et des oiseaux ;

    DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNEDJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

    Les méandres des BOLONGS et un courlis vert

    DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNEDJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

    Un varan et les pélicans

    Puis nous ferons une halte dans un petit village où nous découvrons la case santé et surtout les enfants qui nous courent autour.

    DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

    Pour la halte du déjeuner le piroguier fera une cueillette d’huitres sauvages, nous nous arrêtons sur le bord du Saloum sur une aire qui est aménagée. Un villageois nous a préparé un feu de bois sur lequel nous allons cuire (fumée) les huitres récoltées.

    DJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNEDJIFER , le SALOUM et FOUNDIOUNE

    La cuisson des huitres et l'ouverture pour un vrai régal

    Annie promettant de ne prendre qu’une petite douzaine selon son habitude. Toutefois les locaux n’ouvrent pas assez vite les coquillages. Annie se mettra au labeur pour son propre compte. Nous ne pourrons vérifier la quantité absorbée, mais il faut reconnaitre que c’est une délicieuse expérience.

    Le lendemain nous cherchons un mécanicien pour ausculter notre moteur. Nous trouverons ce personnage qui vient d’un village voisin. Le remède administré sera pire que le mal. Pour le coup nous voila sans moteur pour notre séjour sur le Saloum.

    Nous décidons de retourner sur Dakar pour la réparation et le remplacement des pièces détériorées.

    Rage de notre part mais c’est l’Afrique et son fatalisme.

    Nous quittons donc à regret les autres et nos projets sur le Saloum.

    De bonnes âmes compatissantes nous promettent de nous faire des photos de leurs ballades et ainsi nous faire partager les paysages et rencontres que nous ratons

    Aussi cela nous permet de faire partager ce que nous avons manqué.

     


    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    1
    Jeudi 4 Juillet 2013 à 21:41

    Bonjour,

    Si vous n'avez pas eu la possibilité de visiter l'école de Djifer, le site ci-dessous vous permettra de la dévouvrir:

    http://ecoledjifer.e-monsite.com

    Bonne lecture!

     

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :