• UNION

    Après  notre dernière halte sur l’ile de CARRIACOU (état de GRENADE) nous nous arrêtons sur UNION (état de st. VINCENT) afin de remplir nos déclarations d’entrée sur le territoire (douane et police)  nous sommes sur un mouillage près de la ville de CLIFTON face à   l’hôtel et à coté de l’aérodrome.

    GRENADINES ST. VINCENT

    Après nos formalités une petite ballade en ville s’impose. Une ville comme dans notre imaginaire colorée et musique RASTA à chaque coin de rue..  

    GRENADINES ST. VINCENT

    Au gré de notre promenade nous découvrons les petits commerces et échoppes des femmes qui vendent des légumes et des fruits. Une surprise nous attend en découvrant «CAPTAIN GOURMET » boutique d’alimentation tenue par une française et ou l’on trouve du foie gras du vin et du fromage « tout comme la bas ». Cela fait drôle de trouver ces produits après les recherches lors de nos avitaillements depuis quelques mois.

    MAYERO

    Départ de UNION pour l’ile de MAYEREAU en fin de journée pour un mouillage forain au sud du l’ile pour la nuit .

    GRENADINES ST. VINCENT

    Un moment de solitude au bord d’une plage magnifique. Nous sommes bercés par une petite houle au son des ressacs qui brisent sur la plage. Moment de calme avant de rejoindre « TOBAGO CAYS »

    TOBAGO CAYS

    Décors de cartes postales d’un mouillage dans une mer ayant toutes les nuances de bleu. Nous ne sommes plus seuls entre les autres navigateurs et les touristes venant en charters.

    GRENADINES ST. VINCENT

    Masques et palmes pour plonger dans les bancs de corail pour une visite dans un aquarium géant. Des poissons, petits et gros, multicolores paradent sous nos masques. Nous assistons au repas de tortues qui nagent indifférentes à nos cotés. Des moments un peu magiques pour les grands enfants que nous sommes. 

    GRENADINES ST. VINCENT

    Nous profitons de ce coin paradisiaque pendant trois jours avant de partir vers notre prochaine ile

    CANOUAN

    La lecture de la littérature de bord (ancienne) nous intrigue en nous indiquant la pauvreté de l'ile semble-t-il à l’écart du développement touristique voulu par ST. VINCENT. Grande surprise car nous jetons l’ancre face à un hôtel chic et sommes accueillis par de MARINEROS qui nous attribuent une bouée de mouillage.

    GRENADINES ST. VINCENT

    Jolie petite ile au couleur des Antilles et ou l’on trouve un approvisionnement en frais très correct.

    Deux jours de farniente avant le départ pour MOUSTIQUE et BEQUIA un peu plus au nord et le retour vers GRENADE fin avril

    GRENADINES ST. VINCENT

     


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  • PARAMARIBO

    Départ des iles du salut en fin de matinée, Nous avons décidé de ne pas faire escale à Cayenne dont la sécurité est précaire et de même ne pas prendre de risque sur le mouillage de KOUROU dont les informations de bateaux ne garantissent pas le mouillage dans des fonds de vases.

    Une navigation de 190 MN nous attend soit une trentaine d’heures si nous trouvons le courant portant qui remonte les cotes du BRESIL vers le nord.

    Nous trouvons ce courant mais une belle brise venant d’est nous pousse vers le SURINAME à belle allure. ATANUA file à plus de 8 nœuds. Nous sommes à l’embouchure du fleuve SURINAME(le nom en FLAMAND est imprononçable) vers midi, soit environ après 24 H de navigation, il reste les méandres du fleuve (environ 15 MN) à parcourir pour notre projet de mouillage à PARAMAIBO.

    SURINAME

    Nous jetons l’ancre vers 15 heures, La remonter est fastidieuse et sans beaucoup d’intérêt. Heureusement cette remontée se fait avec le courant de marée qui nous aide.

    Le cadre de notre mouillage est superbe, non loin d’un hôtel assez accessible pour les commodités et prés du centre de ville. Nous y resterons environ dix minutes, la  belle demeure devant laquelle nous sommes n’est autre que le palais présidentiel. Les gardes militaires nous demandent de nous éloignr très gentiment. Nous mouillons dons 100 m plus loin fac à l’hôtel.

    La vile est très calme et ressemble à une petite ville de la campagne hollandaise. Les maisons en bordure du fleuve font penser à Amsterdam. Une campagne de rénovation du centre ville sous l’égide de l’UNESCO semble être efficace.

    SURINAMERUE DE PARAMARIBO AU BORD DU FLEUVE

    Une visite sur le marché est un vers délice de parfum et est bien achalandé en provisions.

    SURINAMESURINAME

    Une ballade dans les rues commerçantes nous fait découvrir de belles boutiques, dont quelques unes de mode très jolie. Nous trouvons d’ailleurs une jolie robe sexy pour 8 euros et des chemises « LACOSTE » au prix exorbitant de 8 euros l’unité. Depuis le Brésil c’est notre première étape ou nous pouvons faire un vrai avitaillement en trouvant le même approvisionnement que dans un super marché européen.

    Une véritable surprise pour nous et nos idées reçues, même si dans les campagnes cela ne doit pas être aussi facile pour les populations. Mai cela vaut largement l’escale en GUYANNE.

    SURINAMESURINAME

    Nous décidons de repartir le lendemain afin de s’affranchir des formalités de douane et de police (une journée à courir). Bonne pioche car le lendemain au moment de lever l’ancre la police vient nous contrôler. Nous expliquons que nous partons et  ils nous souhaiteront une belle navigation en nous remerciant de notre visite. Le contact est vraiment agréable.

    Nous voici donc en route vers Grenade avec la perspective de 4 jours de navigation et peut être une halte sur TOBAGO selon nos conditions de navigation.


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    GRENADE

    Nous arrivons sur l’ile de GRENADE après juste 72 heures de mer soit trois jours pour parcourir les 538 MN qui séparent PARAMARIBO de l’ile. Une belle moyenne de 180 miles par jour. En ce 1er avril nous pensons à une blague. En effet nous avions convenus des retrouvailles avec des bateaux qui ont fait le périple de l’Amazone. Le rendez vous devant être dans la marina qui sera le futur cadre de l’hivernage d’ATANUA. Mais lors de notre arrivée nous ne voyons aucun bateau dans un coin sinistre loin de toute animation. Ce n’était pas l’image que nous imaginions de cette Marina.

    GRENADE

    SOLEIL SUR GRENADE

    Nous mouillons quand même et essayons de vains contacts par VHF. Par mail nous obtenons l’information que devant la pauvreté du site tous sont partis dans une marina voisine dites "LE PHARE BLEU".

    Nous levons l’ancre pour les y rejoindre. Petite navigation devant la cote où nous avons aperçu un phare bleu. Nouveau mouillage et nouvelle déception en ne retrouvant aucun des bateaux.

    GRENADEGRENADE

    PICKLY BAY MOUILLAGE

    C’est 1er avril et ils blaguent. Nous décidons de rester la nuit et poursuivre notre quête demain après les formalités d’entrée sur Grenade. De bon matin nous sommes à la douane et services d’émigration puis passons voir la capitainerie. Le responsable nous indiquera où se trouve la Marina « LE PHARE BLEU » et nous fera cadeau  de notre nuit. Il rit peut etre encore de nos explications.

    Nous sommes le 2 avril au « PHARE BLEU » et donc tout redevient normal en retrouvant les quatre bateaux qui doivent hiverner sur le même chantier de GRENADA MARINE.

    Nous louons une voiture et allons visiter le chantier afin de se rassurer. Des responsables compétents parlant français nous reçoivent avec gentillesse et nous préparons le futur repos d’ATANUA mais aussi de autres bateaux. Il ne reste plus qu’à nous consacrer au tourisme, avitaillement et bien sur aux restaurants en comparant les expériences de chaque équipage.

    GRENADEGRENADE

    Nous commençons par la visite de ST. GEORGES la capitale de Grenade qui outre la grande ile comprend CARIACOU et de multiple ilots.

    Le 4 nous faisons la cote sud est et le centre

    GRENADEGRENADE

    Le 6 avril visite de la cote ouest et le Nord

    GRENADEGRENADE

    Le 8 avril, tous les équipages se retrouvent dans le restaurant de l’hôtel «  LA SAGESSE » où certains ont établi leur quartier pendant qu’ils désarment leur navire et le préparent pour la période cyclonique.

    GRENADEGRENADE

    LA PLAGE DE LA SAGESSE ET LA PREPARATION DES AGAPPES

    Le départ prévu le 9 sera retardé  au 10 car l’arrivée du  bateau « AMANEI » qui a percuté un pécheur sur la cote Brésilienne à la sortie de l’amazone est annoncée. Cela fera plaisir à tous et remontera le moral de son équipage que nous soyons présents pour les accueillir.

    Nous sommes sur CARRIACOU dans l’après midi et restons 2 jours pour visiter l’ile en bus

    GRENADE

    GRENADE

      

      

      

      

      

      

    (dont le fameux petit chantier de construction traditionnelle de bateaux de 40 pieds en bois) avant de partir pour l’ile de MAYEREAU et entrée sur l’état de ST. Vincent et ses ilots de carte postale. Nous faisons nos formalités sur l’ile d’UNION le 12 avril pour ainsi faire des sauts de puces d’ile en ile dans les iles des GRENADINES qui dépendent de ST. VINCENT.

    Sur UNION nous avons découvert une épicerie (tenue par une française) qui vend du fromage et du foie gras. Mais aussi du vrai jambon et de délicieux yaourt fait maison. Après plusieurs mois ce fut une vraie fête.

     


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  • Nous arrivons aux iles du salut le 24 mars après 80 heures de mer pour parcourir les 450 MN entre notre dernier mouillage à l’embouchure de l’amazone.

    Nous consacrons deux heures pour récupérer une barque de jeunes pécheurs qui dérivaient avec leur moteur en panne. Nous les prenons en remorque pour les rapprocher de leur village en étant vigilant sur les hauts fonds qui l’entoure.

     Une navigation sportive le premier jour sur une mer compliquée entre courant du fleuve et houle venant de la mer qui se croisent sur les hauts fonds du plateau continental qui se prolonge très au large de l’embouchure. Nous trouvons en fin de journée le courant océanique qui remonte vers le nord en direction du Venezuela. Nous avons la chance d’un vent portant qui nous pousse.

    ILES DU SALUT - GUYANNE

    Nous avons pris le parti de naviguer avec les courants sur les hauts fonds entre les lignes des 15 et 25 mètres. Situation la plus rapide mais au risque de croiser les barques non signalées et non éclairées des pécheurs brésiliens. Grand besoin de vigilance en particulier la nuit.

    Nous parcourons 190 puis 185 MN les deux premières 24 heures (Ca file). Des difficultés à passer le fameux CABO NORTE  avec des courants de 3 à 4 nœuds par le travers qui poussent à la cote ( nous aurons plus de 35° de dérive). Nous entendrons par VHF , l’accident du bateau AMANEI (qui à navigué avec nous lors de notre périple transamazonien) qui à percuté un bateau de pèche arrêté non éclairé et dont l’équipage dormait.

    Le reste de notre navigation sera plus calme et nous finirons les 25 derniers miles au moteur faute de vent.

    Nous arrivons à notre mouillage aux iles du salut en plein nuit. Le fond est peu stable et un courant très fort entre l’ile royale et l’ile saint joseph rend ce mouillage délicat. Nous le reprendrons 3 fois et nous déplacerons le lendemain matin pour enfin être assuré.

    Nous retrouvons des bateaux français déjà rencontrés et qui étaient avec nous sur l’amazone.

    En route pour un peu d’histoire de notre beau pays et la turpitude du système répressif du bagne installé sur les iles et sur Cayenne et KOUROU. Nous rencontrons Mr Colin qui fait office de guide sur l’ile royale.

    ILES DU SALUT - GUYANNE

    Il nous consacrera près de quatre heures pour visiter les recoins du bagne puis ensuite nous montrer les archives qui ont été accumulées et avec lesquelles il a constitue un petit musée fort intéressant sur l’histoire (et petites histoires) et l’organisation du Bagne.

     Le lendemain nous prenons l’annexe d’ATANUA pour aller sur l’ile st JOSEPH qui aujourd’hui est restée en l’état depuis l’abandon du bagne.

    ILES DU SALUT - GUYANNE

    Seul un légionnaire assure la garde de l’ile qui appartient désormais au centre spatial.

    Nous n’avons pas pu assister au tir du 24 MARS sur la base de lancement. Notre arrivée ne pouvait se faire que le lendemain car les iles sont en zone d’exclusion et l’on ne peut pas y être au moment d’un lancement. Pour certains qui se trouvaient sur Cayenne il semble que ce fut impressionnant. Mais nous n’avions aucune envie de relâcher sur Cayenne dont la réputation d’insécurité n’est pas à faire

    Le départ sera pour le 26 mars en direction du SURINAME avec une escale dans la capitale PARAMARIBO ce qui nous permettra de faire des provisions de frais sans passer par KOUROU dont l’arrivée et le mouillage sont compliqués à l’embouchure du MARONI.

     


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  • DEPART DE BELEM le 03/03/202

    Nous quittons la Ville de Belém au petit matin pour notre découverte de l’Amazone. Une navigation de 20 jours sur le fleuve impétueux que nous effectuons sous la protection d’un bateau d’accompagnement (BB AMAZONE) avec une vingtaine de gardes de la police militaire et autant d pompiers (bomberos)

    La police afin de prévenir d’incidents et dissuader les éventuels pillages des bateaux et les pompiers pour nous aider lors de rencontres (nombreuses) avec des iles flottantes qui se créent avec des troncs et débris de végétaux charriés par le fleuve et arrachés aux rives lors des pluies (diluviennes)

    Petite navigation de 4 heures de moteur ou l’on découvre la puissance du fleuve et ses courants puissants. La couleur boueuse, sa largeur énorme nous donnent une idée des forces naturelles qui s’agitent dans ce coin de notre planète.

    TRANSAMAZONE

    Le mouillage face à la petite ville d’ARROZAL s’établit en début d’après midi pour les 15 bateaux qui composent la flottille.

    TRANSAMAZONE

    ARROZAL

    Nous restons pour un jour dans cette petite ville sans grand intérêt mais qui nous permet un premier contact avec la population

    ARROZAL vers BAO VISTA le 04/03/2012

    Départ a l’aube pour une navigation au moteur de 67 MN soit une dizaine d’heures pour rallier la ville de BOA VISTA. Les paysages sont magnifiques et grandioses.

    BOA VISTA

    La ville est construite au bord du fleuve et des canaux qui s’y jettent. Cela donne une atmosphère étonnante. Nous utilisons l’annexe de ATANUA pour nous enfoncer dans les méandres et la végétation luxuriante qui nous entoure.TRANSAMAZONETRANSAMAZONE

    Nous restons quatre jours à jouer les explorateurs. Pas de Tarzan ni de Jane mais une nature à peine domestiquée. 

    TRANSAMAZONE

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    BOA VISTA vers ARRARAS le 08/03/2012

    Départ de BOA VISTA à 6 heures le matin du 8 mars pour une journée de navigation de 40 MN soit une dizaine d’heures pour atteindre notre mouillage de ARRARAS. Une escale d’une seule journée pour quelques approvisionnements en produits frais  avant notre prochaine étape de PORTEL.

    ARRARAS vers PORTEL le 09/03/2012

    Départ de bon matin pour effectuer les 45milles nautiques de moteur sur le fleuve pour notre mouillage de PORTEL.

    TRANSAMAZONE

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    La  navigation sur le fleuve est un peu fastidieuse mais les rives et la végétation toujours impressionnantes. L’ambiance entre les bateaux de la flottille est super et chacun raconte ses anecdotes et aventures ce qui nous occupe pendant ces longues heures au moteur.

    PORTEL

    Nous voici à PORTEL pour environ quatre jours et la prévision d’excursions autour. L’accueil est chaleureux avec une population attendant l’arrivée de nos bateaux comme  un grand événement.

    TRANSAMAZONETRANSAMAZONE

    Les autorités municipales ont préparé cette arrivée avec un feu d’artifice et des collations pour tous. En retour nous ferons une parade le long des quais avec grand pavois et corne de brune. C’est  pour cette petite ville une grande première que d’accueillir notre flottille qui vient de très loin pour les rencontrer.

    Cette petite ville essentiellement commerçante pour toute la région à un charme colonial désuet qui respire le calme et la sérénité au milieu des méandres de l’AMAZONE.

    TRANSAMAZONE

    Nous préparons deux ballades en mini bus pour l’une et en bateau local pour l’autre avec les autres bateaux.

    Le 11 mars nous partons en bus pour une visite autour de PORTEL.

    TRANSAMAZONETRANSAMAZONE

    Le 12 mars ballade en bateau avec quelques arrêts dans de minuscules communautés où nous visitons les cultures  et champs de manioc. Le chef du village nous fera une démonstration de sa production depuis l’arrachage au champs, le nettoyage puis râpage avant d’extraire les sucs qui sont nocifs en les pressant, et enfin le brulage pour le sécher et produire ainsi la farine utilisable comme base alimentaire.

    PORTEL vers VILLA FEREIRA le 13/03/2012

    Départ de PORTEL prévu au matin de 13 mars vers cinq heures. C e départ sera retardé d’une bonne heure car les grosses pluies ont charrié des troncs et des formations végétales qui entourent les bateaux.

    TRANSAMAZONE

    Certains bateaux donnent l’impression d’être posés sur une ile. Les pompiers s’activeront pour permettre de relever les ancres et de dégager les mouillages.

    VILLA FEREIRA vers LIVERPOOL le 14/03/2012

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     Nous faisons une halte à VILLA FEREIRA après 5 nautiques de moteur et un peu de repos. Le climat de l’amazone est fatiguant entre chaleur et pluies torrentielles (en un quart d’heure de pluie nous recueillons environ 100 litres d’eau avec notre bâche de 4 M2 -

    TRANSAMAZONE

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    ça tombe dru et l’on est rapidement trempé jusqu’aux sous vêtements) Cela permet une douche sur le pont de ATANUA.

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    SERRARIA

    Le 15/03/2012. Nous visitons une scierie artisanale qui exploite les bois d’Amazonie. Beaucoup d’essences sont aujourd’hui interdites en exploitation et d’autres fortement réglementées. Ce qui pose le problème de survie de ces communautés dans ce coin d’Amazonie.

    TRANSAMAZONE

    TRANSAMAZONE

    Petite navigation de 10 heures vers le village de LIVERPOOL dont l’activité essentielle est la construction des bateaux traditionnels qui naviguent sur le fleuve. C’est d’ailleurs le seul moyen de communication entre les villages et villes.

    TRANSAMAZONE

    Nous profitons de cette escale pour une débauche de « CAIPIRINA » pour tous les équipages pour l’anniversaire d’Annie. Les villageois, devant cet événement de portée internationale, confectionnerons un grand gâteau en forme de cœur pour les équipages et les villageois.

    SERRARIA vers AFUA le 16/03/2012

    Le 16 mars en route pour notre dernière étape de ce périple sur l’amazone, malheureusement écourté pour des questions de visas et problèmes entre notre gouvernement et les autorités brésiliennes au sujet des frontaliers entre GUYANNE et BRESIL.

    TRANSAMAZONE

    Une navigation au moteur sur 60 MN qui ne dure que 9 heures grâce au courant favorable du fleuve dans cette partie vers son embouchure. Les pluies nous accompagnent et le climat est dur pour nos organismes d’européens. Plusieurs ont perdu quelques Kilos (jusqu’à 11 pour certain) Pour nous ! Nous sommes dans les limites du superflu selon le corps médical.

    AFUA

    Nous débarquons à AFUA qui est le terme de notre transamazonienne.

    Nos écolos ont encore du chemin à faire pour arriver au résultat obtenu dans cette ville.

    TRANSAMAZONETRANSAMAZONE

    Que des rues piétonnes, aucun véhicule à moteur ne peut circuler. Seul les vélos peuvent permettre de se déplacer. Ecoutons le silence mes amis (qui permet d’entendre hurler les sonos qui sont installées sur les vélos, tricycles et autres engins à pédales).

    TRANSAMAZONE

    Cette ville est étonnante et marque l’embouchure nord du fleuve

    Nous restons quelques jours pour festoyer avec les autres équipages avant notre départ du BRESIL le 19 mars terme de notre visa sur le territoire.TRANSAMAZONE

    Nous quitterons le Brésil vers la Guyane pour trois ou quatre jours de navigation selon la météo. En route pour de novelles aventures. Escales prévues en direction de GRENADE : GUYANE, ILES DU SALUT, SURINAM, et ?

     


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