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    Nous voici à LISBONNE.

    LISBONNE

    La marina d’OEIRAS se situe sur la rive nord du TAGE à son embouchure.

    LISBONNE

     

    Plusieurs marinas longent la rive septentrionale du fleuve de CASCAIS la première à l’est et la dernière située  à l’ouest du pont du 25 avril, prés des quartiers modernes issus de l’exposition de 1998.

    Nous avons choisi OEIRAS car nous y retrouvions des gens de la TRINITE. Elle est à la fois agréable et calme avec une grande promenade en bord de mer, des bars et restaurants pas très chers.

     

    Lundi 26 septembre nous voici lancés à la conquête de la capitale Portugaise. Nous ferons surtout le tour de la ville car les monuments ou musées sont fermés le lundi. Comme le petit prince l’a dit nous reviendrons mardi.

    L’origine de la ville est incertaine, bien que l’on sache que les phéniciens  s’y établirent vers 1200 av. JC 

    En 716 les musulmans occupèrent Lisbonne et ce pendant 450 ans. La reconquête se fera en 1147 lors du passage de croisés en route vers la terre sainte. En 1256 Lisbonne devient la capitale du Portugal ; Durant le XV° siècle, les conquêtes maritimes constituent un empire au Portugal et assurent  la prospérité de la ville.

    Le 1er novembre 1755 un violent tremblement de terre détruit une grande partie de la ville en faisant plus de 15000 morts. Le marquis de POMPAL, 1er ministre du roi fut chargé de la reconstruction.

    En 1910 d’importants dégâts endommagent la ville lors de bombardement lors de la chute  de la monarchie et son remplacement par la république. C’est en 1926 que commence la dictature de SALAZAR jusqu'à la révolution des œillets du 25 avril 1974. Si vous comptez bien cela fait 48 ans de dictature militaire !

    Nous prenons le train pour le centre ville (une1/2 heure) Il n’y a qu’une ligne qui dessert la cote de CASCAIS à LISBONNE via OEIRAS. La différence c’est qu’il y a des directs, des semi-directs et des lents qui s’arrêtent a toutes les gares. Pas de risque de se tromper.

    Nous commençons par la BAIXIA qui borde le TAGE dans le bas de la ville. Puis nous remontons vers le quartier

    LISBONNE Pont du 25 avril

    de ROSSIO en passant devant le théâtre national Dona Maria II. Mais aussi la FNAC pour nous procurer des brochures de la ville et un traducteur Français/Portugais (ça aide). 

    Nous débouchons sur la « PRACA DA FIGUEIRA » où se trouve la statue équestre du roi JOAO 1er. C’est dans ce quartier que nous déjeunons dans un petit restaurant de poissons et fruits de mer (poulpe et calamars évidement).

    Pendant cette courte pose nous décidons de jouer les touristes en prenant un bus qui fait le tour de la ville en suivant trois itinéraires :

    -         Le centre ville historique

    -         Le quartier ouest où se trouvent les nouvelles constructions à l’architecture moderniste issues de l’exposition universelle de 1998

    -         Le quartier de Belém

    Nous nous arrêtons où bon nous semble en fonction de notre humeur. Nous visitons les parcs et édifices religieux, les monuments et musées ce sera pour demain mardi car ils sont tous fermés le lundi.

    LISBONNE

    Jardin Estrela à cote de la basilique

    Cette ballade nous a pris toute notre journée et nous finirons sur les bords du TAGE à la terrasse d’un café. Demain c’est Belém et sa tour qui nous attend. 

    BELEM

    Nous prenons le train vers le centre ville et descendons à la station proche de la tour. Une vingtaine de minutes de marche et nous sommes dans le flot des touristes.

    La tour de Belém

    Cette tour fut construite entre 1515 et 1521 pour défendre l’embouchure du Tage et le monastère de SAN JERONIMOS. Aujourd’hui au bord du Tage.

    LISBONNEElle était avant le tremblement de terre de 1755, située autrefois à quelques 200m du rivage. Elle constituait un point d’embarquement pour les navigateurs en partance pour découvrir de nouvelles terres.

     

    La structure du petit fortin est Romano-gothique mais son ornementation arabisante lui donne un aspect exotique. Après avoir passé le pont-levis on accède à la terrasse et aux cinq étages de la tour par un étroit escalier en colimaçon. Au dernier niveau on débouche sur le chemin de ronde en découvrant le Tage au sud et le monastère au nord. A l’est se détache le pont du 25 avril et l’on aperçoit au loin la ville de Lisbonne. Nous serons dans quelques mois dans la ville du Brésil qui doit son nom à ce quartier de Lisbonne.

    le monastère de SAN JERONIMOS

    LISBONNE

    La construction fut entreprise par le roi Don Manuel 1er en 1502 sur l’emplacement d’un ermitage fondé en 1460 par Henri le navigateur (fils du roi JOA 1er et de FILIPA de Lancastre son épouse). Plusieurs architectes collaborèrent à sa construction, qui fut financée grâce à « l’argent du poivre » (bénéfices du commerce des épices initié par les voyages de VASCO DE GAMA). Son style est un chef d’œuvre de l’art manuélin et glorifie l’époque des grandes découvertes ;

    L’ensemble se compose de l’église SANTA MARIA et du cloitre. L’église résista au tremblement de terre malgré la légèreté de ses piliers recouverts de sculptures et sa voute de 29x19 mètres.

    LISBONNE

    Le cloitre du monastère JERONIMOS

    LISBONNE

    Le cloitre est un vaste espace avec deux ordres de doubles fenêtres appareillées à l’étage supérieur et simple à l’étage inférieur. Autour du cloitre s’ouvrent le réfectoire dont les murs son revêtus d « azuléjos » et la salle capitulaire.

    L’ensemble ne laisse pas d’impressionner par ses sculptures dans une pierre ocre dont le soleil accentue les couleurs rouges.

    Notre ballade dans ce quartier se prolonge avec le bus touristique dans les rue de Bélem pour découvrir l’ancien palais royal .Nous constatons que l’actuelle  résidence du président de la république est plus modeste que la résidence royale.

    LISBONNE

    La modeste résidence du président de la république

    Nos pas nous mènent vers le monument des découvreurs édifié en 1985 pour la commémoration du 500 ème anniversaire de la mort d’Henri le navigateur.

    D’une hauteur de 50m. On accède à la terrasse supérieure par un ascenseur pour découvrir le panorama et la fameuse rose des vents, dont le centre s’orne d’un planisphère indiquant les grandes dates des découvertes maritimes Portugaises.

    LISBONNE

    Carte de la rose des vents du monument des découvreurs

    Des sculptures représentent les navigateurs ou écrivains aux cotés de HENRI et VASCO DE GAMA, mais aussi une femme : FILIPA DE LANCASTRE la mère d’Henri le navigateur.

    LISBONNE

    Statue VASCO DE GAMA sur le monument des découvreurs

    Nous poursuivons cette promenade par une visite du musée de la marine. On y trouve des maquettes de l’évolution de la construction  navale, ainsi que l’évolution des instruments de navigation. Dans la dernière salle en forme de grand hangar sont exposées les embarcations royales.

    LISBONNE

    La barque royale ou pour sa dernière sortie a vu se poser les augustes fesses de la reine ELIZABETH II

    Nous terminons notre tour de Belém en nous consacrant au rituel de gouter aux fameuses pâtisseries largement saupoudrées de cannelle et dont la recette est parait il secrète.

    LISBONNE

    La fameuse pâtisserie de la spécialité de gâteaux de Belém

    Nous reprenons le bus pour le centre ville et une dernière ballade qui nous mène dans le quartier de La BAIXA pour pendre le fameux « ELEVATOR » (12s de montée pour 5 euros) et déboucher sur le haut de la ville historique. 

     LISBONNE

    Nous longeons l’ancien Carmel détruit par le tremblement de terre et qui est resté en l’état depuis cette date. 

     LISBONNE

    Place do CARMO

    Une petite place à l’allure de place du Tertre nous accueille puis nous descendons à pied vers la ville basse pour rependre le train en direction d’OEIRAS et rejoindre ATANUA. 

    Journée en touristes qui aura usé nos souliers. Nous aurons manqué, à  n’en pas douter, quelques visites par manque de temps, tel le château de SAO JORGE et la nouvelle ville issue de l’exposition de 1998.

     Château de SAO JORGE

     LISBONNELISBONNE

    Nouvelle gare dans le quartier moderne de Lisbonne


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    Après une courte navigation nous voici à PENICHE.

    Le passage du cap « CORBO CARVOEIRO » dans la lumière tombante est superbe. Nous arrivons dans une fin d’après midi ensoleillé.

      PENICHE

    Les heures d’ouverture «Bazard » nous font sortir les vélos pour faire les quelques Km qui séparent la marina du port de pêche ou se trouve la capitainerie.

    PENICHE fut probablement fondée par les Phéniciens, et fut le lieu de débarquement des troupes anglaises en 1589. La citadelle, qui est étonnamment bien conservée, abrite un musée d’intérêt que nous ne pourrons pas visiter compte tenu des horaires.

    Son état de conservation s’explique par les différentes transformations liées à ses usages successifs. D’origine citadelle de défense au 16° siècle elle fut transformée en prison pour les opposants à la dictature militaire de SALAZAR. Puis elle servit de logements temporaires pour les «émigrants » portugais de retour au pays lors de la décolonisation.PENICHE

    Une promenade nous mène sur les bords de la falaise rocheuse qui domine la mer au sud de la ville.

    PENICHE

    Surprise ! On seche la morue et autres poissons sur le trottoir (comme dans certains quartiers de Paris !)

    La ville en elle-même n’a que peu d’intérêt quoi qu’en dise le guide de l’office de tourisme. Mais notre impression n’est pas objective après la ballade « obligatoire » pour nous déclarer,malgré les iles BERLENGA, qui offre de beaux mouillages, et un but pour les vedettes touristiques journalières,

     PENICHEnous décidons de rejoindre LISBONNE le lendemain. Le temps nous presse un peu et l’attrait de visiter la capitale en prenant son temps nous semble une meilleure option.    


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    La petite marina de NAZARE se situe dans l’actif port de pêche.

    Le vieux NAZARE  est loin de la marina ; il est préférable d’utiliser les vélos car il n’y a pas de transport en commun entre la marina et le centre ville, dont le vieux quartier se trouve perché au sommet de la falaise (l’accès se fait par un funiculaire).

    Le vieux NAZARE (O’SITIO) dont l’origine remonterait aux Phéniciens, occupe un site superbe au bord d’une plage immense qui depuis toujours lui assure protection et prospérité. De nos jours, la ville tire ses ressources du tourisme, mais la ville basse le long de la plage a conservé un peu de son atmosphère de jadis. Nous y ferons halte dans un petit restaurant de produits de la pêche.

    Nous voici donc en route sur nos vélos pour les trois Km qui nous séparent de la ville. Rage !!! ventregidouille!!! Panne de vélo ! La chaine saute constamment, et tous les 100m il faut remettre la chaine en place. Nous voici donc, avec un peu d’anxiété à la recherche d’un réparateur de vélo.

    NAZARE 

    Reparation du velo

    Pas de souci nous indique l’office du tourisme. En vrai la boutique est en haut de la ville et il faut monter la cote qui est raide. La boutique est ouverte, et à notre arrivée le réparateur plaque illico sa tâche pour notre vélo récalcitrant. Il lui faudra  une demi heure pour tout remettre à neuf (chaine, dérailleur, changement de vitesse, etc.).Pendant ce temps nous ferons un tour au marché.NAZARE

    Petit rue et le restaurant de fruit de mer ou nous dejeunons le midi 

    Nous montons sur la partie haute de la ville par le funiculaire (avec nos vélos). La vueNAZARE est superbe sur la ville basse et l’immense plage, on distingue au fond dans une légère brume la marina. Les maisons blanches donnent un vif éclat dans le soleil de l’après midi.NAZARENAZARE

    La ballade à vélo se poursuit sur les hauteurs de la ville et nous descendrons par le funiculaire pour le retour vers la ville basse.

    Les quelques photos de notre randonnée vous donnerons l’atmosphère de ce ville, grosse bourgade balnéaire où l’on imagine les vacanciers des périodes estivales se bronzant sur la plage.

    Une journée suffit pour en faire le tour. Nous rentrons au soleil couchant vers ATANUA pour préparer notre départ du lendemain vers PENICHE.

    Dans cette navigation nous raterons le mouillage de SAO MARTNO DO PORTO par imprévoyance. Dommage car les dires d’autres bateaux nous l’ont fait regretter.

     


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    De PORTO à Lisbonne via NAZARE et PENICHE

    De PORTO vers NAZARE 

    Départ de PORTO vers NAZARE le 22 septembre pour une navigation d’environ 105 MN (Miles Nautiques). Nous décidons un départ en début d’après midi car il y a peu de vent et il nous faut environ 24h de navigation pour rejoindre NAZARE.

     De PORTO vers LISBONNE

    Cinq nœuds de vent réel nous poussent mollement en attendant que le vent augmente nous décidons de mettre le moteur. En fin de journée le seigneur Éole daigne apparaitre et nous hissons le SPI pour atteindre 6.5 nœuds de vitesse.

    La nuit sera calme et fraiche avec ce vent de nord. Nous arrivons à NAZARE le 23 vers 10h.

    L’accueil est comme d’habitude chaleureux. Le capitane du port, un vieux monsieur très digue, de blanc vêtu à la manière coloniale, nous  propose une autre place car il pense que les bateaux de pêche nous gênerons pour notre grasse matinée. Rassurez vous il n’en sera rien.

    Nous partons vers midi pour une promenade en ville. Les vélos sont indispensables car la marina est à plus de trois Km du centre de la ville de NAZARE. Nous aurons une panne de vélo dont nous racontons l’anecdote dans l’article de la visite de NAZARE. Nous décidons de repartir le lendemain. Le capitaine nous explique de ne pas nous presser, ici le vent est feignant car il ne se lève pas avant 10 h et même parfois plus tard.

    De NAZARE vers PENICHE

    Petite vérification du bateau avant le départ. La drisse de spi est coincée en haut de l’enrouleur du génois. Bon ! il faut monter en haut du mat pour remettre de l’ordre. C’est Papy qui s’y colle et Mamie qui le hisse. Le plus dur n’est pas pour celui qui monte !De PORTO vers LISBONNEDe PORTO vers LISBONNE

    C’est ensuite le départ de NAZARE le 23 vers 11h pour suivre les conseils du capitaine. Il nous saluera du ponton avec sa canne pour nous souhaiter bon vent.

    Quelques heures de moteur avant de sentir une légère brise vers 13h. Une navigation, pour des retraités, nous emmène pendant 25 MN vers PENICHE que nous atteindrons après 6h30 ballade tranquille. A 17h nous cherchons les bureaux du port pour nous déclarer et surtout obtenir le sésame d’accès aux pontons.

    Une surprise ! Le bureau de la marina n’ouvre que le matin de 7h à 9h45 et le soir de minuit à minuit 15 ! Pas pratique comme horaire, sur les pontons ’on  évoque le cas d’équipage sorti boire un verre et qui ont dormi devant la porte d’accès ; Cela ressemble plus à une légende car comment imaginer qu’aucun n’ai  eu la pertinence de prendre un bain de minuit pour passer et  ouvrir la porte.

    Bref ! Annie n’écoutant que son courage est partie à vélo pour les quelques km qui séparent la marina de la capitainerie du port de pêche où on peut enfin se déclarer. Considérons que PENCHE n’est pas une escale recommandable pour les plaisanciers.

    Nous ferons toutefois un tour de ville assez sympathique à la tombée du jour. Nous décidons de partir vers Lisbonne le lendemain matin de bonne heure (c’est le même cirque des horaires pour restituer les clés) ne respectant pas les conseils du capitaine de port de NAZARE.

    De PENICHE vers LISBONNE

    Départ vers 11h donc sans vent et avec moteur pour Lisbonne (environ 50NM) Une bise légère se lèvera vers 13h pour forcir tout au long de l’après midi nous permettant une moyenne agréable. De longs bords de largue nous ferons arriver à OEIRAS  à l’ouest de LISBONNE sur le TAGE vers 20h ou nous trouvons Pascal et Sylvie sur le ponton où nous accostons.

    De PORTO vers LISBONNE

    Un apéro nous attend sur leur bateau pendant que nous effectuons les formalités au bureau du port. L’accueil (en français) y est chaleureux. La marina dispose de beaucoup de services (laverie, etc.) pour le confort des plaisanciers. Ils nous proposent de nous véhiculer jusqu'à la gare pour prendre le train vers le centre de Lisbonne. Nous en profiterons afin d’économiser nos vieilles jambes dans la perspective des ballades en ville.

    En route pour jouer les touristes dans la capitale du Portugal.

    Départ, selon la météo, pour l’archipel de Madère (en commençant par PORTO SANTO) programmé vers le 30 septembre.


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  • La RIA de VIGO

    Les rias de VIGO et de BAIONA s’ouvrent entre le fronton du cap HOME et du cap SILIERO en s’approfondissant vers l’est-nord est sur un bras long de 15 NM.

    Les splendides iles de CIES, appartenant au parc maritime terrestre des  iles atlantiques se situent juste à l’entrée de la ria. Elles empêchent le passage des marées du sud-ouest en convertissant la ria en un port naturel bien abrité.

    Dans la ria il y a de nombreux ports de plaisance,  il y a autant de mouillages que de plages sablonneuses.

    Dans la ria il faut redoubler de prudence compte tenu de l’intense trafic maritime marchand à destination du port  de VIGO dans lequel arrivent des bateaux d’une longueur pouvant atteindre 300 mètres. Il y a également un gros trafic de bateaux de croisières touristiques qui font escale à VIGO.

    LA VILLE

    VISITE DE VIGO

    VIGO est devenue la plus grande ville de Galice.

    Nous avons choisi de relâcher dans la plus ancienne marina au cœur de la ville ancienne.

    Le REAL CLUB NAUTICO de VIGO est donc le point de départ de notre ballade touristique en ville. La rue CARRAL permet d’entrer dans le cœur historique (LE CASCO VELLO). De nombreuses PULPEIRIAS proposent des tapas de poulpe, des calamars et autres fruits de mer. Nous avons terminé notre ballade dans l’un d’eux qui nous servi du poulpe à la Galicienne et des calamars a la « plancha ».

    La PORTA DEL SOL avec sa sirène débouche sur la hauteur vers la ville moderne. En remontant à droite vers  la rue ALPHONSE XII nous atteignons la place du même nom où se trouve l’olivier symbole de la ville

    VISITE DE VIGO

     et  un magnifique belvédère  qui nous fait découvrir la baie de VIGO. En nous retournant nous montons vers « O CASTRO » un mirador surplombant la ville et qui possède un jardin d’une grande richesse d’espèces d’arbres. O CASTRO probablement village celte nous renvoie aux frontières de la préhistoire de la ville.

    VISITE DE VIGO

    Nous prenons le bus (c’est compliqué et pas très clair de trouver la bonne ligne) pour le marché du dimanche matin à BOUZAS.

    BOUZAS est une ancienne bourgade de pécheurs qui à été rattachée à la ville de VIGO il y a une centaine d’années. Toutefois les habitants, de ce qui est aujourd’hui un quartier, sont fiers de conservé une identité propre et ayant de fortes traditions culturelles tourné vers la mer. Ce quartier à conservé de bon exemple d’architecture maritime.

    Le marché du dimanche qui est très populaire se situe non loin de l’église SAN MIGUEL .

    L’on y trouve de belles représentations de statuaire en habits) et une figuration de ST. ELME saint protecteur des marins. Nous ne pourrons pas prendre de photos car les offices se succèdent toutes les heures et l’église est remplie de fidèles à tous. Tant pis pour notre curiosité.

    Pour la votre, vous pouvez en suivant le lien accéder à l'album sur PICASA.

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